De qui ? |
De quoi ça parle ?
Une famille parisienne sans (trop d') histoire va basculer du jour au lendemain dans l'apocalypse zombies. Heureusement pour Karen, mère au foyer et championne d'escrime, elle va croiser la route d'un cinéphile averti qui connaît tout sur les morts-vivants.
Et alors ?
Les zombies, sujet qui émoustille les amoureux de films de genre, c'était un pari intéressant et risqué pour une pièce de théâtre.
Le résultat est surprenant, hybride entre comédie et horreur, oscillant toujours un peu trop entre les deux pour nous faire vraiment hurler de rire ou flipper.
L'histoire se déroule en une suite de petites saynètes, où l'on découvre les personnages, les situations, les enjeux, avec un fil conducteur qui met un peu de temps à apparaître. Le rythme n'y est pas, j'ai eu l'impression d'être happée véritablement dans l'action dans les dix dernières minutes du spectacle, après avoir passé le reste de l'histoire à vaguement me demander où nous allions.
Ce qui ressort, au final, c'est une mise en scène quasi-cinématographique, un éclairage plaisant et ténu, des effets spéciaux et des maquillages réussis. Ces effets instaurent une atmosphère originale à la pièce, aidés en cela par un décor plutôt ingénieux, qui découpe l'espace scénique en plusieurs lieux à l'aide de quelques panneaux et portes, qui prend les personnages en otage des murs et des morts.
Le jeu d'acteurs est à saluer, en particulier celui d'Ariane Mourier qui apporte un côté décalé et cocasse aux situations.
En somme, c'est un moment de divertissement sympathique.
Pour qui ?
- A voir entre potes !
- En famille, pourquoi pas ? La mention "interdit aux moins de 16 ans" ne paraît pas vraiment justifiée, ça n'est pas gore à ce point.
Une famille parisienne sans (trop d') histoire va basculer du jour au lendemain dans l'apocalypse zombies. Heureusement pour Karen, mère au foyer et championne d'escrime, elle va croiser la route d'un cinéphile averti qui connaît tout sur les morts-vivants.
Et alors ?
Les zombies, sujet qui émoustille les amoureux de films de genre, c'était un pari intéressant et risqué pour une pièce de théâtre.
Le résultat est surprenant, hybride entre comédie et horreur, oscillant toujours un peu trop entre les deux pour nous faire vraiment hurler de rire ou flipper.
L'histoire se déroule en une suite de petites saynètes, où l'on découvre les personnages, les situations, les enjeux, avec un fil conducteur qui met un peu de temps à apparaître. Le rythme n'y est pas, j'ai eu l'impression d'être happée véritablement dans l'action dans les dix dernières minutes du spectacle, après avoir passé le reste de l'histoire à vaguement me demander où nous allions.
Ce qui ressort, au final, c'est une mise en scène quasi-cinématographique, un éclairage plaisant et ténu, des effets spéciaux et des maquillages réussis. Ces effets instaurent une atmosphère originale à la pièce, aidés en cela par un décor plutôt ingénieux, qui découpe l'espace scénique en plusieurs lieux à l'aide de quelques panneaux et portes, qui prend les personnages en otage des murs et des morts.
Le jeu d'acteurs est à saluer, en particulier celui d'Ariane Mourier qui apporte un côté décalé et cocasse aux situations.
En somme, c'est un moment de divertissement sympathique.
Pour qui ?
- A voir entre potes !
- En famille, pourquoi pas ? La mention "interdit aux moins de 16 ans" ne paraît pas vraiment justifiée, ça n'est pas gore à ce point.
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