La légende du Roi Arthur

De qui ?
De Giuliano Peparini                                                           
     



                            


De quoi ça parle ?
Adaptation libre des légendes arthuriennes, ou l'histoire d'un jeune écuyer devenant roi. Puis cocu.


 Et alors ?
De grosses attentes envers une grosse production. Et un bilan qui serait presque l'exact contre-exemple de ma critique de "Résiste".

S'il est un point pour lequel il ne faut rien changer, c'est bien la mise en scène. Un pari juste puisque, après "1789",  Giuliano Peparini récidive et ensorcelle cette vaste scène du Palais des Congrès. Les tableaux sont variés, dynamiques, parfois un peu too much, mais ils remplissent leur contrat et le spectateur en prend plein la vue.
Une jolie révélation avec Fabien Incardona (dans le rôle de Méléagant), dont la voix surprend agréablement.

Parlons maintenant de ce que l'on regrette :
Ici, ce sont les chansons qui me laissent sur ma faim. L'équipe derrière "La Légende du Roi Arthur" nous a déjà servi cette soupe. Plusieurs fois. Au début, j'acclamais leur originalité. Maintenant, je soupire. Hormis les orchestrations "bretonisantes", j'ai l'impression d'entendre en boucle le même morceau depuis "Mozart l'Opéra Rock". Pourquoi ?
Suis-je aussi la seule à me lasser des arrangements vocaux, qui ne suffisent pas à cacher les fausses notes de plusieurs des personnages ? Dans cette troupe, certains n'ont clairement pas le même niveau. On retrouve certains membres de précédents castings (là aussi, pourquoi ? ils n'ont pas eu le temps de nous manquer...).

Dans l'ensemble, malgré les quelques points négatifs, j'ai passé un bon moment, en ne m'ennuyant pas une seconde.

Pour qui ?
-Ceux qui veulent un show visuel époustouflant.
-Les "nostalgiques" fans de "1789" et "Mozart l'opéra rock".

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