La Dame Blanche

De qui ?
De Sébastien Azzopardi et Sacha Danino                                                                      
                                                 

De quoi ça parle ?
D'un homme partagé entre deux femmes, d'un accident de voiture, de fantômes et de monstres.

 Et alors ?
Très inattendu. Un comble pour moi qui croulait sous les attentes, après avoir été voir 3 fois "Dernier coup de ciseaux", des mêmes auteurs !
Il y a de petites similitudes entre ces deux pièces, mais "La Dame Blanche" constitue une telle surprise, à part entière, que je ne trouve plus si opportun d'établir le parallèle. Ce qu'on retient surtout de ce passage au Palais Royal, c'est un sentiment magique dû à l'immersion. Plus que par l'histoire, on est captivé par l'ambiance, par l'atmosphère instaurée.
La peur est générée de manière très "filmique", avec des effets spéciaux impressionnants.
La musique aussi, joue une grande importance sur le sentiment du spectateur et ce dès le démarrage du spectacle.

Les instants d'interaction, car ils existent, jouent plus sur la corde de l'humour, et c'est là qu'il faut tirer son chapeau, car l'aspect comique ne casse pas le côté thriller.
C'est aussi là que les comédiens, à l'énergie débordante, brillent.
En parlant de comédiens, d'ailleurs, il faudrait consacrer un autre article, à la voix superbe, mais aussi à la fabuleuse chevelure d'Anaïs Delva (mais comment fait-elle ?).

Dans les points un peu moins positifs, et il faut être tatillon, j'ai peut-être trouvé la deuxième partie de la pièce moins rythmée et un peu longue ?
Qu'importe, la dernière minute en vaut la peine, pleine de tendresse et de poésie.


Pour qui ?
-La sortie entre amis.
-Un rendez-vous romantique.
-Ceux qui recherchent l'originalité !

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